Le 25 octobre, la 33e Conférence mondiale Hakka sur le culte des ancêtres a eu lieu au parc commémoratif de la racine ancestrale Hakka mondiale, dans le district de Yanshi à Luoyang.
Des représentants des clans Hakka du pays et de l’étranger se sont rassemblés à la « racine ancestrale de Hakka » à Luoyang, où l’activité de culte des ancêtres se déroule solennellement sous le monument des plaines centrales commémorant la migration vers le sud des ancêtres Hakka, pour vénérer conjointement leurs ancêtres Hakka et ressentir les émotions profondes des liens de sang.
Le parc commémoratif mondial de la racine Hakka est solennel. Les invités qui assistent à l’activité de culte des ancêtres se rassemblent au monument des plaines centrales commémorant la migration vers le sud des ancêtres Hakka, à la recherche de leurs racines et rendant hommage à leur ville natale. La cérémonie du culte des ancêtres se compose de sept rituels : le salut des trompettes, l’offrande de corbeilles de fleurs, la combustion de l’encens et des libations, la lecture de la prière, l’inclination du respect, l’hymne Hakka et la présentation du sol ancestral. Avec de profondes émotions de liens de sang avec leur patrie, tout le monde prie pour la prospérité et l’harmonie de leur patrie.
Luoyang est un berceau important de la civilisation chinoise et la patrie ancestrale de plus de 100 millions de Hakka dans le monde. Il y a plus de 1 700 ans, les ancêtres Hakka ont entrepris leur première migration vers le sud depuis Luoyang. En août 2007, le Symposium académique international sur « Le lieu de départ de la première migration des ancêtres Hakka » s’est tenu à Yanshi, où les experts ont tous convenu que Yanshi était le lieu de départ, le site commémoratif et le lieu le plus sacré de la migration de masse initiale des principaux ancêtres Hakka. En septembre 2009, le « Monument des plaines centrales commémorant la migration vers le sud des ancêtres Hakka » a été achevé, ce qui constitue un point de repère unique pour que les Hakka du monde entier puissent retracer leurs racines. (Reporter : Qi Shuaihua Bai yunfei, correspondant : Wang Leiwen, article/Photo)